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Les
voyageurs du 18e siècle sont très variés.
Les diplomates, et les militaires apportent peu d'attention à leur condition
de voyage pourvu qu'ils arrivent à temps et remplissent leur mission.
Les philosophes, les artistes
en quête de découvertes, de nouvelles expériences,
sont avides d'écrits sur leurs péripéties, leurs rencontres, leurs impressions
de voyage.
Et encore toute une foule de gens, commerçants, policiers, étudiants
circulent.
Ils
emploient soit des voitures privées pour les privilégiées, généralement
plus rapides ; soit des voitures louées ; ou encore le voyage en diligence.
On voyage
de plus en plus, pour les affaires, pour le plaisir. Ces voyageurs deviennent
des "touristes", vers 1838 ce mot d'origine anglaise, est mis à la mode
pas Stendhal (Mémoires d'un touriste, 1838). |