La fusion des religions gauloise et romaine
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Vénus
Les statuettes de Vénus comme les déesses-mères illustrent le culte de la fertilité. Le souci de la fécondité, que ce soit celle des humains ou celle des troupeaux et des champs de céréales, n'est pas propre à la religion gauloise : on le trouve dès la Préhistoire, dans toutes les formes de religions connues. Dans la culture gréco-romaine ce sont Aphrodite/Vénus, mais également Junon, sous l'épiclèse Lucina (celle qui met les enfants à la lumière), et bien d'autres divinités, même masculines (voir les rituels des Lupercales à Rome), qui incarnent l'idée de procréation.
En référence au mythe de sa naissance, les statuettes de Vénus la représentent souvent « anadyomène », c'est-à-dire sortant de l'eau, retenant d'une main une draperie et de l'autre sa chevelure dénouée. Le caractère gaulois des statuettes est surtout apparent dans leur facture.