
Au XVIIème siècle, Saint-Jean-d’Angély se relève des guerres de Religion et renaît véritablement le siècle suivant grâce au négoce des eaux-de-vie. Située en limite des Bons Bois et des Fins Bois selon les appellations contemporaines, la ville voit s’ériger de nombreux chais où s’entreposent les précieux fûts. Leur nectar s’exporte sur les flots de la rivière Boutonne.